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Les voeux aux françaises et français de Nicolas Sarkozy réécris par Ternoise
Les voeux de Sarko avant ceux aux veauxTout le monde a au moins une vague idée des voeux du président Sarkozy le 31 décembre à 20 heures, sur sa télé préférée. « L’année 2008 s’achève. Elle a été rude ». Là il faut décoder, rude n’est pas un terme anodin quand on est le mari de Carla Bruni. Quand on s’exprime publiquement, on place toujours des petits mots pour ses proches. Ce fut donc « rude ». Apprécions ! « De cette crise va naître un monde nouveau auquel nous devons nous préparer en travaillant plus. » Etait-ce l’annonce codée de la naissance d’un sarko-bruni ? Ça c’était pour les français de la télé, après il y eut les parlementaires, les militaires, les journalistes, les fonctionnaires, les caissières… non pas les caissières, les patrons, les sportifs… mais avant… Ah, vous voudriez bien connaître la vraie pensée de Sarkozy, ses voeux à ses proches, dans son grand bureau sans petite caméra. Vous avez de la chance, quelqu’un m’a dit… euh… (genre vient de donner un indice sur le quelqu’un…) euh… quelqu’un m’a raconté : « Mes chers amis, ma Carlita, quelle année ! Ah j’en voudrais bien cinq en quinze ans d’Elysée, des années comme ça ! Les grands hommes ont besoin de grandes circonstances pour entrer dans l’Histoire. Mon prédécesseur, le seul qui compte vraiment, le seul à avoir fait quelque chose dans cette maison, notre grand Général a eu la guerre 39-45, la Résistance, le lancement du nucléaire, des autoroutes. J’ai déjà la crise en Géorgie, la crise financière, la conduite de l’Europe, le Moyen-Orient, Liliane Béthencourt et les terroristes des caténaires sncf. Vive les crises ! Ce n’est qu’un début. 2009 sera la pire année depuis… depuis longtemps. Mais là où le général De Gaulle ne pouvait pas compter sur Yvonne occupée aux fourneaux, j’ai ma Carlita aux… pas aux fourneaux, il est des plaisanteries à confier uniquement à sa femme. La crise nous oblige à changer plus vite et plus profondément. Profondément. Je leur dirai aux veaux ! Vous savez que le général appelait les français des veaux et il n’avait même pas connu la vache folle ! Ma Carlita, mes amis, je vais leur servire crise à chaque couplet ! Vive la crise, vive la République, vive Carla, et vive la crise. » Liliane Béthencourt étant « la grande fortune ». Sacem : Les voeux de Sarko avant ceux aux veaux(Stéphane Ternoise) |
A LIRE :
ebook des parodies de chansons de Ternoise 
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